Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Dans la prise en charge de l'addiction à l’adolescence, la collaboration entre spécialistes et professionnels de l’éducation sociale doit se définir. Un programme vaudois dessine les contours d’une d’intervention visant le partenariat.
La fin de carrière est devenue un nouvel espace de vulnérabilisation dans le parcours de vie. Pour l’instant, la loi est muette, les employeurs ambivalents et le monde politique attentiste. Des pistes d’action existent pourtant.
De jeunes adultes recourent à la colocation avec soutien éducatif durant leurs études ou leur premier emploi. Une recherche explique comment se construit la cohabitation au quotidien. Elle identifie aussi les sources de conflits.
Pour que l’égalité des chances se réalise, une piste d’action réside dans une nouvelle collaboration entre l’école et les familles. Les expériences menées à ce jour sont pourtant décevantes. A cause de l’ethnocentrisme de l’école ?
Le travail social est appelé à se saisir des enjeux posés à lui-même et aux publics qu’il accompagne par le développement de la cyberadministration : le risque existe que celle-ci renforce les inégalités et la mise à l’écart.
La Loi sur la formation continue a introduit la promotion des compétences de base des adultes en lecture, écriture, calcul et TIC. Si les enjeux d’insertion professionnelle sont importants, les enjeux de cohésion sociale le sont tout autant.
Les femmes migrantes victimes de violence conjugale peinent à renouveler leurs titres de séjour après dissolution familiale. La situation juridique et sociale de leurs enfants non-européens devenus majeurs est alors d’une rare complexité.
L’année 2018 a été marquée sur les deux versants du Jura par une évolution des procédures d’asile. Imaginons le parcours fictif de deux frères primo-arrivants dans les deux pays. Par quelles étapes vont-ils passer?
Le cancer marque souvent un coup d’arrêt dans une carrière professionnelle. La réinsertion des personnes en rémission, toujours plus nombreuses, constitue une priorité. Parce que maladie ne doit pas rimer avec précarité.
Une campagne nationale promeut la santé psychique. Son objectif : que chacun·e ait conscience qu’on peut prendre soin de sa santé mentale comme de sa santé physique. Et que des ressources individuelles et collectives sont disponibles.