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Bonjour,
Je vous remercie pour cet article passionnant. Je suis un étudiant de la Haute Ecole de Travail Social à Fribourg. La thématique que vous développez m'intéresse particulièrement. Serait-il possible d'avoir la version complète de cet article ? Je souhaiterai également avoir un contact avec l'auteur de cet article, Monsieur Philippe Bornand si cela est possible. Je vous remercie d'avance pour votre aide.
Leo Cramatte,Neuchâtel
Réponse de REISO:
Bonjour à vous, nous vous remercions pour votre intérêt et pour votre retour. Nous avons transmis votre demande à M. Bornand.
Meilleures salutations et beaucoup de plaisir à la lecture de REISO.
Céline Rochat, rédactrice en chef
Nouvellement embauchée à l'AEMO de Genève à 57 ans avec une certaine expérience de l'intervention en milieu ouvert, je voulais préciser que le contrat est bi-partite entre le SPMI et les parents. Nous sommes présents et partie prenante du contrat mais ne « portons pas le cadre ». L'intervenant AEMO bénéficie donc de cette posture de tiers qui permet aussi de soutenir les parents afin d'éviter les disqualifications dont vous parlez.
Avec mes meilleurs messages,
Isabelle Mermier
Merci pour cet article que j'ai trouvé très intéressant. La perspective historique amenée est intéressante, notamment celle sur les clivages entre institutions, et aide à comprendre pourquoi le travail interprofessionnel (ici pour traiter des situations complexes) est si difficile. La présentation du dispositif Illustre très bien que le travail interprofessionnel ne peut dépendre des bonnes volontés individuelles mais doit impérativement être accompagné et soutenu, afin notamment « d'aider à aider ». L'article montre également bien l'importance de la responsabilité commune des jeunes — et ceci sur le long terme — afin d'éviter que celui-ci se perçoive comme « balloté » d'une structure à une autre, ce qui entrainerait un processus de discontinuité et de rupture de sa prise en charge / accompagnement.
Je me permets de vous adresser ce lien vers une synthèse sur la pluriprofessionnalité que mes collègues et moi avons rédigée : https://www.ge.ch/document/33784/telecharger
Edith Guilley,Genève
Réponse de REISO : Chère Edith Guilley, je vous remercie pour votre lecture attentive de notre revue, ainsi que pour le partage de votre synthèse. Bien cordialement, Céline Rochat, rédactrice en chef
Assistant social de formation, j'ai exercé des responsabilités d'encadrement à divers niveaux hiérarchiques depuis près de 25 ans. A la lecture de cet article, je me demande une nouvelle fois où et quand on a oublié que la relation d'aide est au cœur du travail social.
La relation d'aide consiste en une rencontre existentielle entre l'aidant et l'aidé : on change lorsque l'on se sent compris. Pénétrer au travers du symptôme, pour rejoindre l'autre dans sa souffrance, suppose avoir sondé sa propre souffrance et s'utiliser soi-même comme principal outil de cette relation (je cite ici de mémoire le Dr Reynaldo Perrone). Comment peut-on aider si l'on n'est pas impliqué dans la relation ? Et donc : comment pourrait-on ne pas être touché du décès d'une personne qui était un bénéficiaire de notre travail ? Envisager le travail social sans la dimension de la relation d'aide n'a aucun sens à mes yeux. Et le burn-out ne vient pas du surinvestissement - même s'il faut à l'évidence savoir accepter que l'on ne peut pas être utile dans toutes les situations : il vient de l'absence de sens de ce que l'on fait. Sans empathie, à quoi bon faire du travail social ?
Marc Favez,Lausanne
Chère Madame,
Merci beaucoup pour votre intérêt. Nous avons relayé directement votre demande aux autrices de cet article. Bien à vous,
Pour la Journée mondiale de la trisomie, le 21 mars, PART21 et la HETSL publient une étude participative sur les besoins de soutien des personnes concernées et leurs proches en Romandie.