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Article très intéressant. Lors du Covid, notre enseignante de dessin a continué à nous envoyer des « défis » mensuels que les participants partageaient entre eux via le réseau. Le regard de chacun·e était bienveillant, il y avait du lien et du partage. Cette période a été moins dure aussi grâce à ces moments.
Raffaella Chiassa,Nyon
Tant que la Santé au travail restera écartée du domaine de la Santé publique pour rester dans son ghetto de l'Assurance accident et de la Loi sur le travail, par la forte volonté des décideurs politiques actuels, il y a peu de chance que les conditions de travail des personnels de santé s'améliorent...
Michel Guillemin, Crissier
Pourquoi les jeunes qui sortent de placement sont considérés comme des enfants par les prestations complémentaires ? Pourquoi, alors qu'ils sont la plupart du temps « sans famille », s'ils continuent leurs études, ils ne touchent pas de prestation adulte, malgré qu'ils le soient ? Ils sont seuls, sans famille, mais ils touchent des prestations « enfants » qui ne leur permettent pas de vivre décemment. Pourquoi ? À partir de quand le majeur est-il considéré comme majeur par les prestations complémentaires ?
Christine Fanelli,Genève
Bonjour,
Votre article est intéressant, mais que faites-vous des proches aidants dans le débat sur la fin de vie ? Quelle est notre place, aux côtés du patient ?
Cordialement,Monica Delastre
Merci beaucoup pour votre intérêt ainsi que votre commentaire pertinent. C’est en effet un point important que vous soulevez, étant donné le rôle significatif que peuvent jouer les médecines complémentaires selon les situations. Même si elles n’ont pas été explicitement nommées, elles sont implicitement comprises dans la première question à poser à son médecin (« Existe-t-il plusieurs traitements possibles ? »). En effet, cette question vise à ouvrir la discussion quant à toutes les options de traitements possibles, y compris les médecines complémentaires, qui – comme vous l’avez très justement relevé – sont loin d’être mutuellement exclusives aux options thérapeutiques occidentales traditionnelles.
Par ailleurs, de façon plus concrète et s’agissant plus spécifiquement des benzodiazépines, un projet interdisciplinaire européen, BE-SAFE, est déjà lancé avec pour objectif la diminution de ces traitements, incluant notamment les médecines complémentaires (https://besafe-horizon.eu/fr/home).
Meilleures salutations, Marie Débieux
En 2025, le dossier thématique annuel de REISO s’intéressera à la solidarité et au lien social. Vos travaux s’inscrivent dans ce champ? Lisez l’appel à contributions et transmettez-nous votre proposition!