Pour réunir les savoirs et les expériences en Suisse romandeS'abonner à REISO
Pour lire l'article concerné ou pour ajouter un commentaire (lire la charte des commentaires), cliquez simplement sur le titre.
Bonjour,
Merci pour votre travail, j'ai trouvé cet article très pertinent et ça ouvre les yeux sur une réalité existante, mais sous-estimée. Force et courage à toutes les femmes qui subissent ces inégalités. Comment quitter cette situation épouvantable sans avoir les moyens nécessaires ?
Evguenia Favre
Merci pour cet excellent article qui décrit une réalité bien trop souvent rencontrée dans notre pratique également auprès des adolescents à DEPART. Et merci aux associations qui défendent ces intérêts.
Les pistes proposées dans l'argumentaire sont pragmatiques et semblent assez accessibles. Je suis étonnée du manque de développement ou de ressources spécifiques en la matière en Suisse Romande et j'appelle ces développements de mes voeux. Peut-être faut-il simplement mieux répertorier ce qui se fait déjà? Les connaissances en notre possession — depuis longtemps maintenant — concernant l'âge de « fin » du développement du cerveau adolescent devraient en soi déjà être un argument suffisant pour adapter les mesures existantes mais d'autant plus pour les "care-leavers".
Kathia Bornand, Lausanne
Je vous remercie pour cet article passionnant. Je suis un étudiant de la Haute Ecole de Travail Social à Fribourg. La thématique que vous développez m'intéresse particulièrement. Serait-il possible d'avoir la version complète de cet article ? Je souhaiterai également avoir un contact avec l'auteur de cet article, Monsieur Philippe Bornand si cela est possible. Je vous remercie d'avance pour votre aide.
Leo Cramatte,Neuchâtel
Réponse de REISO:
Bonjour à vous, nous vous remercions pour votre intérêt et pour votre retour. Nous avons transmis votre demande à M. Bornand.
Meilleures salutations et beaucoup de plaisir à la lecture de REISO.
Céline Rochat, rédactrice en chef
Léo Cramatte
Note de la rédaction : Merci pour votre commentaire et votre intérêt. Votre demande a été transmise à l'auteur de l'article.
Nouvellement embauchée à l'AEMO de Genève à 57 ans avec une certaine expérience de l'intervention en milieu ouvert, je voulais préciser que le contrat est bi-partite entre le SPMI et les parents. Nous sommes présents et partie prenante du contrat mais ne « portons pas le cadre ». L'intervenant AEMO bénéficie donc de cette posture de tiers qui permet aussi de soutenir les parents afin d'éviter les disqualifications dont vous parlez.
Avec mes meilleurs messages,
Isabelle Mermier
Sur la plateforme emploi de REISO, leader des offres d'emploi des domaines social et de la santé en Suisse romande, trouvez votre futur défi professionnel!