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Une étude menée auprès des Lausannois·es de plus de 75 ans montre que les personnes les plus à risque de souffrir d’un sentiment de solitude sont majoritairement issues de quatre groupes. Des pistes d’intervention sont formulées.
Durant la pandémie de Covid-19, les centres d’animation socioculturelle ont déployé des mesures inédites pour rester en lien avec leur public. Les analyser montre les capacités d’adaptation des professionnel·les du travail social.
Comment les pratiques professionnelles sont-elles impactées par une situation de pandémie ? Comment assurer l’insertion socioprofessionnelle des jeunes à travers un écran ? La formation des travailleur·se·s sociaux y est significative.
La propension des jeunes à discriminer les seniors a augmenté avec le Covid-19. Une recherche montre notamment que l’utilisation fréquente de vocables négatifs pour qualifier ce public a engendré une augmentation des préjugés.
Durant la pandémie, une plateforme de soutien en ligne pour les personnes victimes de la violence de leur conjoint·e a été créée. Répondant à des besoins indépendants de la situation sanitaire, elle a été pérennisée.
Malgré l’omniprésence du coronavirus, les besoins généraux en promotion de la santé et prévention n’ont pas diminué. Une étude identifie les priorités en la matière, ainsi que les interventions pertinentes en temps de pandémie.
Complexité administrative et honte retiennent encore trop souvent les personnes en situation de précarité à s’adresser aux services cantonaux susceptibles de leur venir en aide.
La pandémie a contraint les maisons de quartier à fermer leurs portes. Malgré la mise en place d’outils numériques, les travailleur·euse·s sociaux ont peiné à maintenir des liens avec leur public. Récit d’une expérience berlinoise.
L’étude mandatée par AvenirSocial sur le travail social en temps de pandémie aboutit à des conclusions préoccupantes. L’association professionnelle, alarmée, fait entendre ses revendications.
Pour qu’ici soit chez moi : la théorie de la régulation, particulièrement éprouvée durant le semi-confinement lié à la pandémie de coronavirus, contribue à expliquer le sentiment du chez soi en logement protégé.