Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Au 11e étage du bâtiment hospitalier au CHUV, les patient·es de pédiatrie qui effectuent de longs séjours peuvent être en proie à la solitude et à l’ennui. Une équipe d’éducateur·trices s’applique à répondre à ces souffrances.
Si les activités physiques sont reconnues comme essentielles à une bonne santé générale, l’art et la culture s’inscrivent également comme des facteurs favorisant le bien-être physique, mental et social.
En Suisse, le métier de socio-esthéticien·ne reste peu connu et sans formation dédiée. Cette approche contribue pourtant à améliorer l’estime de soi des personnes en situation de handicap ou de précarité. Réflexion issue du terrain.
Les soins infirmiers sont souvent présentés comme un « coût », alors qu’ils permettent précisément de réduire les dépenses de santé. Faire passer ce message nécessite plus d’engagement politique des soignant·es.[1]
Renforcer les compétences en santé des patient·es grâce à une collaboration entre des groupes d’entraide autogérés et des «Hôpitaux favorables à l’entraide» représente une démarche bénéfique pour les patient·es et leurs proches.
À Lausanne, une consultation spécialisée en médecine du travail pour les travailleuses enceintes favorise la poursuite ou la reprise professionnelle dans des conditions sûres. Bilan de ce dispositif unique en Suisse.
Maladie mentale ou différence psychique ? Il est urgent d’en finir avec une pensée dominante normative qui oppose le normal et le pathologique. Plaidoyer.
Une enquête visant à connaître l’impact des vagues de chaleur sur les prestataires de soins et leurs bénéficiaires a été menée dans le canton de Neuchâtel en 2023. Les résultats permettront d’adapter les mesures du plan canicule.
Le langage s’avère un outil puissant qui joue un rôle catalyseur dans le travail social. Les mots utilisés, tant à l’écrit qu’à l’oral, ont un impact significatif sur les personnes accompagnées et sur les dynamiques sociales[1].
Quand « plus » n’est pas synonyme de « mieux » : en plus d’augmenter les coûts de la santé, la surmédicalisation comporte des incidences négatives pour les patient·es qui subissent des effets secondaires inutiles. Un projet fait le point.