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Un projet examine si et comment les technologies d’évaluation de la santé en temps réel peuvent aider à détecter précocement les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence en EMS. Un enjeu pour patient·es et soignant·es.
Un taux élevé de handicap visuel est lié aux deux formes de dégénérescence maculaire liée à l’âge chez les personnes de plus de 55 ans, faisant de cette maladie un véritable enjeu de santé publique.
Dans le canton de Vaud, le projet «Pas à Pas+» démontre l’efficacité d’une collaboration interprofessionnelle santé-social pour remettre en mouvement des personnes sédentaires, avec des résultats probants après quatre ans.
Dans le domaine des gérontechnologies, le «secutel» représente un moyen de soutien du maintien à domicile. Un projet participatif incluant seniors, proches et professionnel·les ambitionne de moderniser ce service.
Une chambre des erreurs permet au personnel médical et soignant un apprentissage interactif dans différentes situations de soins. Ces démarches s’inscrivent dans une politique de renforcement de la sécurité des patient·es.
Pour prévenir les risques cardio-vasculaires, diététiciennes et infirmières en médecine de famille collaborent dans une vision holistique de la promotion de l’activité physique. Une démarche interprofessionnelle pertinente.
Pour répondre aux angoisses liées aux dérèglements climatiques, l'État de Genève mise sur la marche comme vecteur de bien-être physique et mental. Un projet qui adopte une approche « One Health », alliant santé humaine et environnementale.
Au 11e étage du bâtiment hospitalier au CHUV, les patient·es de pédiatrie qui effectuent de longs séjours peuvent être en proie à la solitude et à l’ennui. Une équipe d’éducateur·trices s’applique à répondre à ces souffrances.
Si les activités physiques sont reconnues comme essentielles à une bonne santé générale, l’art et la culture s’inscrivent également comme des facteurs favorisant le bien-être physique, mental et social.
En Suisse, le métier de socio-esthéticien·ne reste peu connu et sans formation dédiée. Cette approche contribue pourtant à améliorer l’estime de soi des personnes en situation de handicap ou de précarité. Réflexion issue du terrain.