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Une expérience atteste que les échecs représentent un outil efficient pour faire travailler la mémoire des personnes touchées par des pathologies neurologiques ou psychiatriques. Ils contribuent aussi à la réintégration dans la vie sociale.
Une étude nationale est venue étoffer les connaissances de l’état de santé des bénéficiaires de l’aide sociale. Les troubles de santé rencontrés par ces personnes devraient en faire un groupe cible de mesures de politique de santé.
Les personnes migrantes sans-papiers recourent souvent aux médias sociaux lorsqu’il s’agit de se documenter ou d’échanger au sujet de la santé. Du côté médical, l’investissement dans ces outils reste pourtant limité.
Malgré l’omniprésence du coronavirus, les besoins généraux en promotion de la santé et prévention n’ont pas diminué. Une étude identifie les priorités en la matière, ainsi que les interventions pertinentes en temps de pandémie.
Souvent minimisée par l’entourage, cette épreuve laisse de la détresse psychologique autant chez la femme que chez l’homme. Une prise en charge globale du couple, par des équipes spécialisées, est recommandée.
L'art de la danse améliore la qualité de vie des patient·e·s touché·e·s par la maladie. La discipline favorise l'expression des émotions et ouvre des espaces de reconnexion à son corps, envers lequel la confiance peut être mise à mal.
Une nouvelle démarche en Suisse romande permet d’aborder les questions liées aux soins futurs avant que la santé des patient·e·s ne se dégrade. Les défis sont à la fois éthiques et conversationnels.
Consulter un médecin lorsque l’on a un trouble du spectre de l’autisme cumule les sources de stress. Pourtant, en adaptant la communication et l’environnement, par exemple, l’accès aux soins de ces personnes se trouve favorisé.
Amener la créativité au chevet du patient adulte ouvre un espace-temps qui apaise et reconnecte corps et esprit. Il convie l’essence réparatrice, intime, d’une personne malade et contribue à prendre soin de son équilibre psychologique.
A Genève, l’art a fait son entrée dans un service universitaire d’addictologie il y a bientôt dix ans. Retour sur une expérience enrichissante et interrogatrice, tant du côté des soignant·e·s que des artistes.