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et les expériences en Suisse romande
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Un nouveau programme est actuellement testé en Suisse romande. Il vise à soutenir les proches aidant·e·s de personnes atteintes de troubles psychiatriques sévères. Selon quelles modalités concrètes et avec quels suivis ?
Le surpoids concerne près de quatre adultes sur dix. Comment sensibiliser les étudiant·e·s en soins infirmiers et en médecine sur la malnutrition ? Une expérience interprofessionnelle et ludique a été menée à Lausanne.
Une étude teste actuellement une thérapie pour les adolescent·e·s et les jeunes adultes souffrant d’hyperphagie incontrôlée. Elle accorde une attention particulière aux stress sociaux et à la sensibilité de ces personnes aux exclusions sociales.
Comment aborder la question de l’alcool dans un foyer pour adultes ? L’interdiction fonctionne mal car des résident·e·s sortent des murs pour «s’alcooliser». L’autorisation de boire à l’intérieur permettrait-elle un meilleur accompagnement ?
Avant de passer «A table !», il est bon de s’assurer que le repas que nous voulons manger est bon, y compris pour notre santé. Depuis plus de vingt-cinq ans, « Fourchette verte » y veille. Histoire d’une aventure qui a démarré à Genève.
Les mesures appliquées pour prévenir certains risques sanitaires ne savent toujours pas tenir compte des inégalités sociales. De plus, elles stigmatisent des parties de la population. Avec le coronavirus, c’est le totem des âges. Réflexion à vif.
En théorie, les EMS sont des lieux de vie. Sauf que les résident·e·s se trouvent souvent dans un rôle d’objets d’attentions et de soins. Comment les considérer comme sujets ? A Genève, le groupe de parole est devenu un outil thérapeutique.
Les thérapies antirétrovirales permettent aux personnes vivant avec le VIH d’avoir une vie sexuelle et reproductive similaire à la population générale. Cependant, pour les femmes séropositives, des enjeux sociaux et sanitaires subsistent.
Face à un aliment sucré ou riche en graisse, les circuits de la récompense s’activent dans notre cerveau. Les études basées sur les imageries fonctionnelles montrent que les personnes obèses et non-obèses ne réagissent pas de la même façon.
Le partenariat de soins et services se développe. Au niveau clinique, il vise à co-construire un projet de soins avec chaque patient·e. L’idée existe désormais de le pratiquer aussi au niveau de l’organisation et de la gouvernance.