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Dans le canton de Neuchâtel, une réforme de la prise en charge de l’enfance est en cours. Des professionnel·le·s ont créé un collectif et élaborent un projet participatif et citoyen. Comment s’articule cette mobilisation locale et singulière ?
L’ordonnance fédérale sur le COVID-19 n’a pas intégré les travailleuses enceintes parmi «les personnes vulnérables». Des arguments cliniques, juridiques et sociaux plaident pourtant pour que le principe de précaution leur soit appliqué.
Les autorités ont recommandé un confinement plus strict pour les personnes de 65 ans et plus. Celles-ci se retrouvent ainsi au centre de l’attention sanitaire. Elles ne sont pourtant pas consultées. Ni reconnues dans leurs rôles sociaux traditionnels.
Dans une société qui tend à les considérer comme une charge, les seniors se sentent parfois de trop, en dépit de leurs contributions économiques et de leur important rôle social. Comment ces représentations se sont-elles développées ?
Leur nombre augmente : les violences sexuelles concernent une femme sur dix. En Suisse comme ailleurs, la procédure judiciaire est peu adaptée et les victimes osent rarement porter plainte. Comment faire pour que la honte change de camp?
Les personnes âgées consomment beaucoup de prestations de santé et les plus jeunes sont fortement sollicitées pour en payer les coûts. Il est urgent de coordonner le système, de renforcer la solidarité et d’adapter les politiques publiques.
En Suisse romande, des dispositifs de travail social hors murs pour les jeunes se sont développés parallèlement à l’émergence de politiques sécuritaires et d’outils de contrôle social. Réflexion autour d’un débat qui divise les professionnel·le·s.
L’outil d'apprentissage ParticipaTIC est désormais en ligne. Développé sur un mode collaboratif et dans une approche citoyenne, la plateforme est destinée à celles et ceux qui exercent une fonction de représentation des personnes handicapées.
Le Conseil fédéral voulait augmenter les déductions fiscales pour les familles. En plus des frais de garde, une déduction dite «pour enfants» a été introduite durant les travaux parlementaires. Elle crée un gros embrouillamini social.
Le harcèlement concerne en moyenne un à deux élèves par classe. Ce phénomène a de quoi inquiéter. Une évaluation de la Cour des comptes genevoise met l’accent sur la nécessité du renforcement de la formation des enseignant·e·s.