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A majorité urbaine et connectée, la génération du papy-boom est aussi consommatrice de biens, de services et de loisirs. Les EMS sont peu adaptés à cette clientèle en recherche de vie, de lien social et d’animation. Pistes de réflexion.
Des sentiments conflictuels sont ressentis par les personnes âgées lorsqu’elles se trouvent obligées de recourir à l’aide à domicile. Une étude menée au Tessin donne la parole aux aînés et analyse cette transition critique du grand âge.
L’isolement des personnes âgées résulte souvent d’habitats individualistes et séparatistes. Avec une politique de logements coopératifs et intergénérationnels, jeunes et moins jeunes répondraient avec ingéniosité à leurs besoins respectifs.
Bien que le suicide assisté reste en Suisse un phénomène social minoritaire, il suscite des débats passionnés réactualisant cette vieille interrogation: est-ce que la vie vaut la peine d’être vécue ? Et dans quelles circonstances ?
Les personnes âgées souhaitent majoritairement vieillir chez elles. Confrontées à des contraintes mettant en péril leur autonomie, elles se montrent fins stratèges afin de préserver leur espace de familiarité. Enquête à Genève.
Une étude menée à Genève a fait parler les aîné·e·s. De multiples liens, petits, imprévus et de hasard leur donnent l’impression d’habiter dans une zone familière et confortable. Ils expliquent ce sentiment d’appartenance à leur quartier.
La réflexion sur les soins médicaux en fin de vie soulève des questions subtiles. Marqué par une sagesse pratique acquise au lit du malade, Gian Domenico Borasio donne des pistes claires et concises pour repenser cette phase de l’existence.
Comment devient-on accompagnant spirituel ? En restant ouvert à tout ce qui peut survenir et en renonçant à donner des conseils. Dans ce cheminement, l’accompagné développe sa réceptivité et sa créativité. Par le langage non-verbal aussi.
L’imaginaire collectif a longtemps vu les personnes immigrées comme une force de travail qui n’allait pas rester en Suisse. Les études ont contredit cette fiction. Depuis lors, sur le terrain, l’intégration peine encore à se concrétiser.
Elles sont invisibles, discrètes et fondées sur de bonnes intentions. Les «douces violences» du personnel envers les pensionnaires âgés sont pourtant fréquentes. Un home valaisan les a identifiées et traquées au quotidien.
Percevoir les désaccords comme une opportunité de changement, c’est ce que propose le Centre pour l’action non-violente dans un atelier sur la résolution non-violente des conflits, le 18 mai à Lausanne. Inscriptions en ligne.