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Migration et confinement 1. Le monde est-il à l’arrêt ? La planète tourne-t-elle encore ? Prenez votre longue vue et zoomez sur les migrant-e-s. Qu’est-ce qui a changé ? Pour nous, pour elles, pour eux ? Est-ce que les migrant-e-s, c’est aussi nous ?
Qu’ont en commun la grève générale de 1918, la guerre de 1939 à 1945, la crise économique de 1974-1975 et les mesures prises pour endiguer la pandémie de Covid-19 en 2020 ? D’avoir contribué à l’évolution de la politique sociale en Suisse. Éclairage.
En Suisse, avec ou sans pandémie, des personnes démunies sont contraintes de recourir à l’aide alimentaire. Par une approche anthropologique, une étude cerne les dispositifs et le contenu des cabas ainsi que la relation entre droit et charité.
Elle est où Mme Coigny ? La subite disparition de cette résidente finira par révéler des béances dans le fonctionnement des EMS. Retour d’expérience d’un sociologue en mission de protection civile durant « le confinement ».
La pandémie a posé des questions éthiques difficiles pour les dispositifs d’aide à la survie. Dans l’urgence de la crise et face à des personnes précarisées, il a fallu repenser les prestations et les fondements de l’intervention.
Les mesures appliquées pour prévenir certains risques sanitaires ne savent toujours pas tenir compte des inégalités sociales. De plus, elles stigmatisent des parties de la population. Avec le coronavirus, c’est le totem des âges. Réflexion à vif.
Au début du XXe siècle, le poète et pédagogue indien Tagore a fondé ses actions sur la quête de l’émerveillement. En pleine crise sanitaire, sa pensée est inspirante. Cet article rassemble quelques repères et impressions sur ses enseignements.
L’ordonnance fédérale sur le COVID-19 n’a pas intégré les travailleuses enceintes parmi «les personnes vulnérables». Des arguments cliniques, juridiques et sociaux plaident pourtant pour que le principe de précaution leur soit appliqué.
Les autorités ont recommandé un confinement plus strict pour les personnes de 65 ans et plus. Celles-ci se retrouvent ainsi au centre de l’attention sanitaire. Elles ne sont pourtant pas consultées. Ni reconnues dans leurs rôles sociaux traditionnels.
Respecter les consignes pour préserver la communauté. Prendre le temps de lire et de méditer… Les règles actuelles liées à la pandémie semblent proches de celles pratiquées dans la vie monastique. Mais jusqu’où pousser la comparaison ?