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À Genève, un projet pilote mené par une association d’aide aux victimes de violence en couple a favorisé prévention, compréhension et meilleure détection de la violence dans les relations amoureuses auprès des élèves du secondaire II.
Une étude lausannoise s’est intéressée à la santé sexuelle des jeunes trans et non binaires en francophonie. Elle montre notamment qu’il s’agirait d’intégrer davantage les diversités de genre dans les cours d’éducation sexuelle.
La situation carcérale des détenu·e·s LGBTQ+ varie fortement, notamment en fonction des lieux de détention, des professionnel·le·s et co-détenu·e·s auxquel·le·s ils et elles sont confronté·e·s. Une recherche dresse un état des lieux contrasté.
Les femmes avec déficience intellectuelle souffrent de multiples et constantes représentations négatives au sujet de leur intimité. Des évolutions sont essentielles pour que leur santé sexuelle cesse d’en pâtir.
Se former quand on assume seule la charge d’un ou plusieurs enfants et qu’on reçoit le revenu d’insertion représente un cumul de challenges. Certains programmes soutiennent ces femmes à la motivation décuplée par la vision d’un avenir meilleur.
La Fondation MalleyPrairie, à Lausanne, prend en charge aussi bien les victimes que les auteur·e·s de violences dans le couple par une approche dite intégrée. Ou comment concilier apports féministes et systémiques.
Comment les jeunes homosexuel·le·s vivent-ils/elles leur orientation sexuelle dans une société qui assigne tacitement une attirance hétérosexuelle aux gens ? Deux témoignages esquissent des réponses.
Les témoignages sur la charge mentale recueillis par le Bureau lausannois pour les familles tendent à montrer que c’est toujours majoritairement les femmes qui anticipent et organisent les affaires familiales. Analyse.
Un important sondage en ligne montre l’ampleur du harcèlement de rue dans le chef-lieu fribourgeois. Où, quand et comment se produit-il ? Quelles sont les réactions des victimes et des témoins ? Analyse.
En Suisse, bien que la contraception soit majoritairement assumée par les femmes, cela ne signifie pas que les hommes en soient désinvestis. Les intérêts de la pharma et, surtout, les représentations de genre expliquent ces blocages.