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Quelles sont les spécificités d’une approche communautaire pour le travail social avec les personnes migrantes précaires ? Quels sont ses avantages et ses limites ? Eclairages sur la base de l’expérience de permanences volantes à Genève.
Qu’est-ce que cela signifie d’être un homme dans un métier perçu comme majoritairement féminin ? Question posée dans une recherche menée auprès de dix assistants sociaux d’un service romand de protection de la jeunesse.
L’accueil et l’hospitalité des personnes étrangères sont recensés depuis 1860 en Suisse. Au fil des décennies, des textes légaux de plus en plus complexes ont étiqueté, classifié et catégorisé les êtres humains qui demandent asile dans le pays.
L’imaginaire collectif a longtemps vu les personnes immigrées comme une force de travail qui n’allait pas rester en Suisse. Les études ont contredit cette fiction. Depuis lors, sur le terrain, l’intégration peine encore à se concrétiser.
Depuis 2013, Marly expérimente un programme de réinsertion sociale et professionnelle par l’emploi. Il implique collectivement les «améliorateur·trice·s d’environnement», les services de la commune, les sociétés et les associations locales.
Depuis plus de vingt ans, les consultations tentent d’inciter les hommes à développer une plus grande attention à leur santé sexuelle et reproductive. Du moins en théorie. Dans la pratique, de nombreux écueils tiennent encore les hommes à distance.
Les requérants d’asile mineurs non accompagnés sont-ils d’abord des requérants d’asile ou d’abord des enfants ? A Genève, afin d’assurer un accompagnement plus adéquat, l’accueil des migrants de 5 à 15 ans a été repensé.
Dans cette consultation ambulatoire genevoise, les femmes représentent 21% de la population suivie. Elles viennent toujours discrètement, en vitesse. Pour établir du lien, le centre leur a concocté une journée légère et rigolote.
Elles sont invisibles, discrètes et fondées sur de bonnes intentions. Les «douces violences» du personnel envers les pensionnaires âgés sont pourtant fréquentes. Un home valaisan les a identifiées et traquées au quotidien.
Des scènes quotidiennes avec des bambins... Mais au lieu de montrer des mères, le photographe Johan Bävman se focalise sur les pères. La démarche de MenCare vise à casser le cliché du pater familias et à révéler une autre réalité sociale en Suisse.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)