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L’exposition directe ou indirecte aux changements climatiques et environnementaux, dont la rapidité de l’évolution est sans précédent, peut générer de l’éco-anxiété. Comment définir ce phénomène, et quels en sont les impacts ?
A Genève, une recherche-action vise à questionner et soutenir le processus de transformation des pratiques alimentaires des institutions vers plus de durabilité et d’équité, en tenant compte des aspirations des personnes précarisées.
Face à l’urgence climatique qui impose un changement rapide des sociétés, la question sociale ne doit plus rester en marge, mais figurer au centre des enjeux écologiques. En ce sens, le rôle des professionnel·les du travail social est important.
À l’heure où les catastrophes climatiques se succèdent, de nouvelles vulnérabilités apparaissent pour les publics des professionnel·les du travail social, qui doivent dès lors être formé·es en matière d’enjeux écologiques. Grand angle.
Entre la grossesse, l’accouchement et le post-partum, les sage-femmes s’occupent de fœtus, de nouveau-nés et de femmes dans des moments de vulnérabilité particulière en matière d’exposition chimiques, biologiques et sociales. Survol des enjeux.
Le système de santé contribue de manière importante à la dégradation de l’environnement. Les professionnel·les de la santé, investi·es et concerné·es par la santé de la population, ont un rôle important à jouer dans sa transformation.
La profession infirmière est fortement concernée par les questions de durabilité. Intégrer ce paramètre à la formation de base devient indispensable pour donner aux futur·e·s soignant·e·s l’impulsion de transformer les pratiques.
Canicules, tempêtes et réchauffement des océans montrent la situation précaire de la planète. Au-delà des émotions individuelles que cela génère, comment les professionnel·le·s du travail social vivent-ils et elles cette situation d’urgence ? [1]
En Suisse comme en France, le développement d’un doctorat en travail social s’avère nécessaire pour inscrire le travail social comme discipline académique propre. Retour sur les réflexions menées lors d’un colloque international.
Les « plans climat » romands prennent peu en compte les liens entre inégalités sociales et dérèglement. Une compréhension limitée des paramètres sociaux liés aux enjeux énergie-climat et une faible implication des partenaires sociaux l’expliquent.