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Le politique comme les médias signalent rarement que les personnes de nationalité étrangère contribuent largement au financement de l’Etat social helvétique. Tout en étant souvent exclues des prestations sociales.
Les sages-femmes et les maternités romandes travaillent en réseaux socio-sanitaires pour suivre les familles en situation de détresse sociale. Entre la théorie et la pratique, des décalages surgissent et il importe de les interroger.
Dans les situations de placement, les travailleurs sociaux ont deux mandats d’apparence incompatibles : protéger les enfants et simultanément donner leur place aux parents. Sur quels axes éthiques et avec quels outils agir?
Dans la presse vaudoise, l’éducation sexuelle à l’école est régulièrement abordée. Les querelles sont vives sur les rôles de l’école et de la famille ou sur les notions de biologie et de sentiments. Un grand absent dans ces débats: l’enfant.
Pour les professionnels de la santé, l’information des personnes migrantes se heurte à une série de difficultés. Une étude menée à Genève les identifie à trois niveaux : accès aux soins, transfert de compétences, contexte de vie des patients.
A Neuchâtel, un home pour personnes âgées s’est questionné sur le sens du mot «bientraitance». Les résidents ont donné leurs définitions. La démarche se poursuit avec le personnel. Et si la bientraitance était à vivre et à actualiser au quotidien ?
Ateliers de danse et de théâtre, projets artistiques participatifs, le far° à Nyon a su tirer parti de sa proximité avec un centre de requérant·e·s pour favoriser et réinventer le vivre ensemble.
Des parents adoptifs choisissent de conserver le prénom d’origine de leur enfant. D’autres préfèrent le modifier. Si le prénom d’une personne n’est nullement anodin, les stratégies de construction identitaires sont multiples.
Les migrant·e·s représentent 41% de la population genevoise et appartiennent souvent aux populations les plus vulnérables. Une consultation de premier recours assure leur prise en soins. Avec quelle mission et quels objectifs de santé publique?
Pour résoudre les problèmes financiers de leurs usager-ère-s, la majorité des assistantes sociales recourent au budget comme outil d’intervention. Une recherche a évalué les avantages et les limites de son utilisation.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)