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Les nouvelles dispositions de protection de la personne posent d’épineuses questions sur la façon d’annoncer et/ou de transmettre les informations aux autorités. Elles modifient sensiblement les contours du secret médical.
Le droit de la protection instaure plus d’autonomie pour les personnes, la subsidiarité de l’Etat et des mesures modulables. Il implique de profondes évolutions dans l’activité des travailleurs et travailleuses sociales.
En Suisse, le nombre d’interruptions de grossesse n’a cessé de diminuer au cours des trente dernières années. Si la prévention explique en partie cette évolution, le régime du délai a lui aussi joué un rôle clé dans ces bons résultats.
Le droit de la protection des personnes prévoit le « Placement à des fins d’assistance ». Cette décision délicate impliquera souvent un médecin. Dans quel cadre juridique et sur quels critères éthiques devra-t-il fonder sa décision ?
La révision du Code civil relative à la protection de la personne introduit les curatelles modulables, deux mesures personnelles anticipées et deux cas de représentation légale. Quels sont les objectifs de ces nouveaux instruments ?
Longtemps attendu, le nouveau droit de la protection remplacera dès le 1er janvier 2013 le centenaire droit de la tutelle. Comment les nouvelles dispositions, habilement modulables, ont-elles mûri et quels sont leurs objectifs ?
Notre société porte en elle certaines des barrières qui empêchent un vieillissement harmonieux. En marge de la nouvelle politique vaudoise de santé publique, plusieurs axes de travail visent à prévenir les inégalités sociales.
La proportion grandissante de personnes âgées et très âgées au sein de la population n’est en aucun cas une menace. Le canton de Vaud s’est doté d’un nouvel outil pour adapter progressivement le système de santé à cette situation.
La Ligue vaudoise contre le cancer a mandaté une étude de besoins pour mieux comprendre les réalités des personnes concernées et ajuster ses prestations. Comment mener une telle recherche, avec quelle approche et quels résultats ?
C’est devenu une tradition que d’affirmer que les politiques sociales sont génératrices de « déficits ». Mais depuis quelques années, un nouveau discours les présente comme des investissements. Qu’en penser ?