Go Top

L’art, moteur d’une insertion sociale active

Lundi 24.03.2025
stdClass Object ( [id] => 45 [asset_id] => 1139 [field_type] => textarea [name] => article_copyright [label] => Copyright [description] => [isfilter] => 0 [isadvfilter] => 0 [iscore] => 0 [issearch] => 1 [isadvsearch] => 0 [untranslatable] => 0 [formhidden] => 0 [valueseditable] => 0 [edithelp] => 2 [positions] => [published] => 1 [attribs] => {"use_ingroup":"0","allow_multiple":"0","add_position":"3","max_values":"0","required":"0","default_value":"","default_value_use":"0","validation":"RAW","auto_value":"0","auto_value_code":"fields;\r\nif ( !isset($F['fieldname01']) ) return array('fieldname01 field not found');\r\n\r\n$vals = array();\r\nforeach($F['fieldname01']->postdata as $i => $v)\r\n{\r\n $vals[$i] = 'Auto : ' . $v;\r\n}\r\n\r\nreturn $vals;","display_label_form":"1","label_form":"","no_acc_msg_form":"","use_html":"1","placeholder":"","maxlength":"","rows":"3","cols":"80","editor":"","width":"98%","height":"150px","show_buttons":"0","import_fv_remap_mode":"0","import_fv_remap":"","import_fv_ccode_mode":"0","import_fv_ccode":"parameters->get('some_param');\r\n\r\nforeach($values as $i => $v)\r\n{\r\n $values[$i] = 'Example ' . $i . ' : ' . $v;\r\n}\r\n\r\nreturn $values;","display_label":"1","show_acc_msg":"0","no_acc_msg":"","include_in_csv_export":"0","csv_strip_html":"0","viewlayout":"default","lang_filter_values":"0","encode_output":"0","clean_output":"0","cut_text_catview":"0","cut_text_length_catview":"200","cut_text_display_catview":"0","cut_text_display_btn_icon_catview":"icon-paragraph-center","cut_text_display_btn_text_catview":"...","prx_sfx_open_close_configs":"","remove_space":"0","pretext":"","posttext":"","separatorf":"1","opentag":"","closetag":"","trigger_onprepare_content":"0","trigger_plgs_incatview":"0","microdata_itemprop":"","useogp":"0","ogpusage":"1","ogpmaxlen":"300","display_label_filter":"2","display_filter_as":"1","display_label_filter_s":"2","display_filter_as_s":"1","editorarea_per_tab":"0","start_of_tabs_pattern":"","end_of_tabs_pattern":"","start_of_tab_pattern":"","end_of_tab_pattern":"","title_tab_pattern":"","force_beforetabs":"1","force_aftertabs":"1","allow_tabs_code_editing":"1"} [checked_out] => 0 [checked_out_time] => 0000-00-00 00:00:00 [access] => 1 [ordering] => 42 [has_access] => 1 [item_id] => 13912 [value] => Array ( [0] =>

© OSEO Valais

) [parameters] => Joomla\Registry\Registry Object ( [data:protected] => stdClass Object ( [use_ingroup] => 0 [allow_multiple] => 0 [add_position] => 3 [max_values] => 0 [required] => 0 [default_value] => [default_value_use] => 0 [validation] => RAW [auto_value] => 0 [auto_value_code] => fields; if ( !isset($F['fieldname01']) ) return array('fieldname01 field not found'); $vals = array(); foreach($F['fieldname01']->postdata as $i => $v) { $vals[$i] = 'Auto : ' . $v; } return $vals; [display_label_form] => 1 [label_form] => [no_acc_msg_form] => [use_html] => 1 [placeholder] => [maxlength] => [rows] => 3 [cols] => 80 [editor] => [width] => 98% [height] => 150px [show_buttons] => 0 [import_fv_remap_mode] => 0 [import_fv_remap] => [import_fv_ccode_mode] => 0 [import_fv_ccode] => parameters->get('some_param'); foreach($values as $i => $v) { $values[$i] = 'Example ' . $i . ' : ' . $v; } return $values; [display_label] => 1 [show_acc_msg] => 0 [no_acc_msg] => [include_in_csv_export] => 0 [csv_strip_html] => 0 [viewlayout] => default [lang_filter_values] => 0 [encode_output] => 0 [clean_output] => 0 [cut_text_catview] => 0 [cut_text_length_catview] => 200 [cut_text_display_catview] => 0 [cut_text_display_btn_icon_catview] => icon-paragraph-center [cut_text_display_btn_text_catview] => ... [prx_sfx_open_close_configs] => [remove_space] => 0 [pretext] => [posttext] => [separatorf] => 1 [opentag] => [closetag] => [trigger_onprepare_content] => 0 [trigger_plgs_incatview] => 0 [microdata_itemprop] => [useogp] => 0 [ogpusage] => 1 [ogpmaxlen] => 300 [display_label_filter] => 2 [display_filter_as] => 1 [display_label_filter_s] => 2 [display_filter_as_s] => 1 [editorarea_per_tab] => 0 [start_of_tabs_pattern] => [end_of_tabs_pattern] => [start_of_tab_pattern] => [end_of_tab_pattern] => [title_tab_pattern] => [force_beforetabs] => 1 [force_aftertabs] => 1 [allow_tabs_code_editing] => 1 ) [initialized:protected] => 1 [separator:protected] => . ) [display] =>

© OSEO Valais

[raw_values] => Array ( [0] =>

© OSEO Valais

) [basic_texts] => Array ( ) )

En Valais, une mesure d’insertion sociale s’approche des pratiques d’accueil libre déployées en animation socioculturelle. Son succès témoigne d’un réel besoin parmi les bénéficiaires.

Par Anne Carlet et Amandine Hiltbrand, maîtresses d’atelier, mesure ISA, OSEO Valais, Sion

Cet article est le quatrième du dossier Journée d’automne 2024 de l’Artias. Explorant la thématique de l’insertion sociale et professionnelle, ce dossier réalisé en collaboration entre REISO et l’Artias compile les articles et interviews de la majorité des oratrices et orateurs ayant contribué à cette rencontre des acteurs et actrices de l’action sociale en Suisse latine, déroulée le 28 novembre 2024 à Lausanne.

L’insertion sociale active (ISA) met en œuvre une forme d’accompagnement social spécifique et novateur. Adaptée à une population ne répondant pas aux exigences du système d'insertion professionnelle, cette mesure a pour but de stabiliser socialement les participant·es. Elle leur permet d’intégrer un collectif en les accueillant de façon inconditionnelle dans un environnement créatif et bienveillant.

Un cadre souple

Pour intégrer la mesure ISA, la personne bénéficiaire signe un contrat de collaboration de six mois, renouvelable autant de fois que souhaité, à travers lequel elle s’engage à une présence de 20% au minimum. Cet accord lui donne droit à une indemnité mensuelle de stage de 150 francs, sans contre prestation. Le cadre de prise en charge reste souple et adaptable dans les horaires et jours de présences. Aucun objectif n’est posé, et aucune exigence de rentabilité ou d’efficience n’est demandé.

ISA s’adresse uniquement aux bénéficiaires de l’aide sociale sans objectif d’insertion professionnelle à court ou à moyen terme, notamment à celles et ceux qui sont en attente d’une prise en charge par un autre système assuranciel, tel que l’AI ou l’AVS. Pour les participant·es, il s’agit de trouver une appartenance et de reprendre confiance en l’autre, et en soi. La mesure concrétise un changement de paradigme qui veut que l’existence sociale ne dépende pas uniquement de son identité professionnelle.

Capacités d’accueil doublées en cinq ans

C’est en 2016 que l’OSEO Valais crée une mesure pilote. Celle-ci contribue à poser les bases d’un accompagnement en phase avec les théories de l’accompagnement social palliatif [1].

La mesure est pérennisée en 2018 [2]. Cette prise en charge inédite rencontre un fort succès et entraine une demande importante, nécessitant le doublement des capacités d’accueil en 2021. A l’heure actuelle, ce sont 42 personnes qui peuvent participer simultanément à la mesure ISA.

Accompagnement social palliatif

Concept développé par Marc-Henri Soulet, Professeur à la Chaire de Travail social de l’Université de Fribourg, l’accompagnement social palliatif dans le domaine de l’insertion regroupe plusieurs critères :

  • Acceptation de l’impossibilité à moyen ou long terme pour la personne d’être insérée dans le premier marché du travail (pas de « guérison » possible). L’acceptation vaut ici pour les premier·ères concerné·es (bénéficiaires), mais également pour les professionnel·les, les politiques et la société en général.
  • Accompagnement basé sur l’accueil de la personne et sur des compétences utilisées également en soins palliatifs : attention, écoute, souci, prise en compte, veille ; ceci dans l’unique but d’améliorer les conditions de vie de la personne et non de la rapprocher d’une quelconque norme ou du marché de l’emploi.
  • Le but est le maintien de la personne dans une certaine stabilité (éviter le décrochement de la vie sociale) tout en cherchant à maintenir le contact et restaurer l’estime de soi. Ceci permet de créer les conditions de l’action, si action il doit y avoir (« efficacité poïétique imprévisible et invisible »[3]).

Pour davantage de précisions et pour aller plus loin :

V. Châtel, G. Sonnati, M.-H. Soulet, « Fondements et mise en pratique de l'accompagnement social pallitif », ARTIAS, Dossier du mois, mai 2024

Renforcer les compétences douces

Selon Francesca Quercia [4], les mesures d’insertion sociale se caractérisent par leurs publics-cibles, les plus « vulnérables », et par le fait qu’elles se situent en amont de l’insertion socio-professionnelle dans l’ordre d’intervention. Proposant un cadre très « souple » et une conception non chronométrique du temps, ces mesures sont considérées comme « à bas seuil d’exigences », avec un objectif réparateur et un travail de « care ». Elles travaillent sur des « compétences douces » et visent le maintien psychosocial de la personne. Si la mesure « Insertion sociale active » répond à l’ensemble de ces critères, elle comporte également des spécificités acquises au fil de son développement.

De l’importance du lieu d’accueil

Pour assurer la capacité d’accueil actuelle, d’anciens locaux administratifs de l’OSEO ont été aménagés en plusieurs espaces polyvalents, sur deux étages d’un immeuble de logements et de bureaux. Loin d’un grand espace ouvert, cette configuration particulière confère aux locaux une ambiance « informelle », offrant l’opportunité aux participant·es de choisir leur espace en fonction de leur activité et de leur envie du jour (plus calme, avec musique, en fonction d’une affinité personnelle, etc.). Les deux étages permettent par ailleurs de « lisser » l’effet de nombre et minimise la sensation d’un trop grand groupe dans un type de mesure où l’accompagnement de l’ordre de l’intime est une prérogative.

Spécificités de l’encadrement

Les mesures d’insertion sociale demandent des profils professionnels particuliers. Comme l’écrivait déjà Marc-Henry Soulet en 2007, « … ce (sont) probablement l’expérience ou les aptitudes singulières des travailleurs sociaux qui (sont) en effet sollicitées plus que les logiques professionnelles et/ou les normes institutionnelles » [5]. Actuellement, l’équipe de professionnelles de la mesure regroupe des compétences en animation socioculturelle, en éducation spécialisée et en accompagnement de maîtr·esse d’atelier avec des connaissances professionnelles spécifiques orientées vers l’art.

Par de nombreux traits, la pratique du·de la professionnel·le dans un cadre de mesure d’insertion sociale s’apparente à celle de l’accueil libre tel qu’il est pratiqué en animation socioculturelle. Comme l’écrit Joëlle Libois, « une qualité de présence (...) demande d’avoir fait le deuil du désir de « toute puissance », d’abandonner l’espoir de trouver la « solution miracle » ou encore de savoir ce qui est bon pour autrui. Oser les sentiers de traverse, laisser advenir de l’inconnu, laisser venir à soi ce qui émerge, ce qui se tait, ce qui fait mal comme ce qui transcende oblige à sortir des modèles convenus. (…) Expérience qui construit et enrichit un savoir-faire, peu reconnu mais pourtant essentiel au développement de l’apprentissage du vivre ensemble, de l’ouverture à autrui et de la capacité à créer collectivement des règles qui produisent non pas de la restriction ou de la frustration, mais bien du développement et du plaisir à l’expérience collective. » [6]

Dans le cadre d’ISA, les professionnelles s’appliquent chaque jour à accueillir le·la bénéficiaire là où il·elle est, avec ses désirs et attentes de la mesure. Il s’agit de laisser la place à l’individu, sans lui imposer d’exigence ou d’objectif. Cela permet à chacun·e de s’épanouir et de développer une estime de soi, assumer sa personnalité et développer ses compétences sociales à son rythme. Les bénéficiaires créent elles·eux-mêmes l’espace adapté à leurs besoins. Et qu’ils·elles éprouvent du plaisir à l’expérience, personnelle et collective, est bien l’un des objectifs de la mesure, tant dans l’accueil à l’atelier qu’à l’occasion de projets artistiques plus spécifiques, engageants sur un court ou moyen terme.

Les propositions d’activités

L’utilisation de l’art comme médium principal est intéressante dans une volonté de s’éloigner de l’orientation mercantile, communément privilégiée dans le domaine de l’insertion. De plus, l’offre d’activité et d’atelier est particulière, tant dans sa forme que dans son fond.

Ainsi, au quotidien, l’accent est mis sur l’autonomisation et l’auto-détermination. Chacun·e décide de ce qu’il·elle souhaite accomplir (ou pas) lors de son temps passé à l’atelier. L’encadrant·e est garant·e du cadre sécuritaire, fournit le matériel de base, se place dans un accueil et une écoute de la personne. Mais, en aucun cas, il·elle ne viendra décider de l’activité d’un·e participant·e ou le·la guider. Des ateliers ponctuels ou récurrents (technique artistique particulière, croquis, atelier d’écriture, etc.) sont proposés pour nourrir une certaine dynamique, mais ne sont jamais obligatoires.

Depuis 2022, un développement d’activités sous forme de projets « extraordinaires » existe également. Ponctuellement, mais au maximum une fois par année, des séjours sont proposés. Un petit nombre de participant·es s’engage dans un projet artistique mené durant deux, trois, sept jours en extérieur, lequel rayonne ensuite sur plusieurs mois. Il peut s’agir de la réalisation et de la pose d’une sculpture dans un lieu plus ou moins éloigné de l’atelier, d’une résidence artistique ou d’une performance. Le groupe est impliqué dans la préparation du projet, sa réalisation, ainsi que la communication autour de celui-ci et le travail parfois réalisé au retour, comme la création des œuvres et une ou des expositions. Ces projets spécifiques et ponctuels sont accessibles, de fait, à une petite partie seulement des bénéficiaires, mais tendent au rayonnement de tou·tes, la mise en lumière et la valorisation de l’individu agissant par capillarité et appartenance.

Ce faisant, la mesure contribue à « inclure les plus périphériques dans le jeu de l’engagement et du projet » [7]. Les participant·es sont renforcé·es dans leur confiance en elles·eux et « (développent) des capacités à générer des résultats autonomes plutôt que de renforcer une dépendance mutilante promue par les politiques compensatoires » [8].

Si ces projets spécifiques découlant sur des événements valorisants augmentent la visibilité de la mesure, ils nécessitent un important travail de préparation et de réalisation pour les encadrant·es, ainsi que des financements extraordinaires qu’il s’agit de chercher à l’extérieur du budget de fonctionnement courant. L’ensemble de ces éléments demande une grande cohésion d’équipe afin de garantir une équité dans les diverses volontés de création de projet, ainsi que dans l’équilibre du temps de travail.

Évoluer dans un lieu bienveillant

Ce que vient chercher un·e participant·e dans cette mesure particulière, c’est sans conteste la possibilité d’évoluer dans un environnement qui s’adapte à ses besoins, à ses possibilités et à ses impossibilités. Il·elle y trouve un espace ouvert sur l’extérieur tout en étant protecteur, un lieu qui permet de se confronter à l’autre en douceur avec une possibilité d’apprivoiser et d’expérimenter en sécurité, sans jugement et sans objectif. Huit ans après la première expérience pilote, la mesure reste perçue comme novatrice dans son accompagnement inspiré de l’accueil libre, des bénéficiaires de l’aide sociale.

ISA répond tant à un besoin des participant·es, qu’à un besoin de la société. L’intégration sociale de personnes laissées pour compte par un système qui n’offre pas à chacun·e la possibilité de s’intégrer professionnellement soutient en effet la réduction des dépenses générales de santé [9]. Il est observé que la reprise d’un rythme et un maintien du lien et des compétences aide à renouer avec un réseau familial, social et sanitaire. La stabilisation psycho-sociale d’une tranche de la société qui est souvent cachée, isolée et peu ou pas visible, participe à une amélioration du fonctionnement sociétal global.

Cette vision de l'accompagnement ne se veut néanmoins pas idéalisée. Comme toute structure, ISA est parfois confrontée à des limites, parmi lesquelles figure sa grande capacité d'accueil. Positive quand elle permet l'anonymat, stimulant les échanges et les rencontres, cette dernière peut également devenir un frein à un accompagnement individualisé. Pour contourner ces limites, les travailleurs sociaux et travailleuses sociales sont soumis·es à une charge mentale plus importante. Entre les professionnel·les, la communication doit donc être fluide, transparente et permanente afin de suivre au mieux les situations particulières de 42 participant·e·s hebdomadaires.

Un autre écueil possible est le risque d'inertie. Le·la travailleur·euse social·e ne jouant pas un rôle activateur et le·la participant·e n'ayant pas d'objectif à poser ni à atteindre, il est possible que la personne s’enlise dans un immobilisme choisi (consciemment ou non) si elle n'est pas activée par un autre biais. Le rôle du réseau et le regard du mandant s’avèrent alors essentiels pour limiter cet effet. Il est difficile de définir une limite, de tracer une frontière entre une inertie choisie et nécessaire. C'est dans cet impalpable et indéfinissable espace que naît la stabilité nécessaire à l'insertion sociale de l'individu. C'est ici également que se cristallise toute la subtilité de cet accompagnement social particulier.

Forte de son succès, la mesure ISA offre le maximum de sa capacité d’accueil. Dans le canton du Valais, d'autres lieux d'accueil voués à l’insertion sociale, disposant d’une coloration spécifique, connaissent également un franc succès. Cette tendance à la hausse, avec une part toujours plus importante de bénéficiaires, devrait se confirmer pour les années à venir, voire s’accentuer [10]. Si cela se confirme, l’ensemble des acteurs et actrices de l’aide sociale seront amené·es à questionner la prise en charge de ce public afin de continuer à répondre à ses besoins dans un environnement adapté, où l’accueil inconditionnel et le travail social palliatif restent l’essence philosophique.

Références

  • M-H Soulet. « Le Travail social à la croisée des chemins, Les enjeux de professionnalité de l’accompagnement social palliatif », in : « Quand la philosophie doit s’appliquer », sous la direction d’André Lacroix, 2014.
  • M-H Soulet. « La reconnaissance du travail social palliatif », Dépendances, n°33, 2007.

[1] Soulet M.-H. (2007).

[2] La mesure pilote a été quittancée par une étude de la HES-SO Valais-Wallis, mandatée par le Service de l’action sociale de l’État du Valais.

[3] Soulet M.-H. (2007). « La reconnaissance du travail social palliatif », Dépendances, n°33, p.16.

[4] Francesca Quercia, Intervention du 28 novembre 2024 pour la journée d’automne de l’ARTIAS, « L’insertion aujourd’hui : enjeux et points de tension ».

[5] Soulet M.-H. (2007). « La reconnaissance du travail social palliatif », Dépendances, n°33, p.18.

[6] Collectif InteRob (2015), Joelle Libois in « L’accueil libre en terrains d’aventure et Jardins Robinson, une pratique à redécouvrir », pp. 7-8.

[7] Soulet m.-H. (2007). « La reconnaissance du travail social palliatif », Dépendances, n°33, p.15.

[8] Idem

[9] Une diminution moyenne de 51% des frais médicaux a été enregistrée chez les participant·es à ISA après six mois de fréquentation de la mesure.

[10] Cette tendance s’observe lors des échanges avec d’autres organismes d’insertion sociale en Valais, qui révèlent que les places disponibles pour de telles mesures sont en principe occupées en permanence par des bénéficiaires de l’aide sociale, ce qui dénote une nouvelle fois leur utilité.


Lire également :

Comment citer cet article ?

Anne Carlet et Amandine Hiltbrand, «L’art, moteur d’une insertion sociale active», REISO, Revue d'information sociale, publié le 24 mars 2025, https://www.reiso.org/document/13912

Sauvegarder
Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
Analytique
Matomo
Statistiques de visites du site