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A la tombée de la nuit, un collectif citoyen parcourt les rues lausannoises pour « aller vers » les sans-abris. Cette action collective se distingue par une organisation souple ainsi que des engagements multiples et flexibles.
La mesure ISA, ou «Insertion sociale active», est testée en Valais. Destinée aux personnes bénéficiaires de l’aide sociale sans solution immédiate ou durable de réinsertion, elle a réussi à créer un réel espace de réhabilitation.
Les prestations de soins sont censées être accessibles à tout un chacun. L’égalité des chances dans ce domaine n’est pourtant pas réalisée. Revue de littérature sur l’accès et les renoncements aux soins en Suisse et ailleurs.
Entrer au Point d’Eau à Lausanne, c’est voyager autour du monde et vivre une aventure humaine. Ce lieu apporte chaleur et sécurité à des milliers de personnes démunies. Il fournit aussi les soins d’hygiène et les soins dentaires.
La loi fribourgeoise sur l’aide sociale est en cours de révision afin de mieux répondre aux nouveaux enjeux. Les bénéficiaires de l’aide sociale sont absents du processus. Faut-il les inclure ? Et si oui, comment ? Quelques pistes.
Un film en capsules sur un portail internet ? Réalisé par une senior de plus de 70 ans dont c'est le premier geste cinématographique ? Sur un lieu que peu de Genevois connaissent ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
Autonomisés et responsabilisés dans leurs choix de santé, les individus sont parfois contraints à renoncer à des soins. Ce phénomène prend de l’ampleur dans le canton de Vaud [1] et nécessite une prise de conscience politique.
Pour que l’égalité des chances se réalise, une piste d’action réside dans une nouvelle collaboration entre l’école et les familles. Les expériences menées à ce jour sont pourtant décevantes. A cause de l’ethnocentrisme de l’école ?
Le travail social est appelé à se saisir des enjeux posés à lui-même et aux publics qu’il accompagne par le développement de la cyberadministration : le risque existe que celle-ci renforce les inégalités et la mise à l’écart.
A Genève, la loi interdit la mendicité qui n’a de loin pas disparu. La cohabitation avec les personnes qui la pratiquent oscille toujours entre mépris, reconnaissance et indifférence. Selon quelles logiques de part et d’autre?