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Coucher sa détresse sur le papier puis lire son texte à voix haute, en groupe, peut aider les adolescent·e·s aux idées suicidaires à contrer leur sentiment de solitude. Deux participantes à l’atelier d’écriture de MALATAVIE se livrent.
Pour rendre les messages préventifs plus accessibles aux jeunes, MALATAVIE collabore avec des YouTubeurs reconnus. Ils et elles déconstruisent des idées reçues sur le suicide dans des vidéos diffusées sur leur chaîne.
Les personnes concernées par l’automutilation ne reçoivent pas le soutien qu’elles souhaiteraient. Sur ce sujet intime, les travailleurs et travailleuses sociales auraient un rôle clé à jouer. Une recherche donne de nouvelles pistes.
Quels sont les droits et les devoirs des employées pendant et après une grossesse? Qu’en est-il concrètement des absences, de la pénibilité du travail, de l’allaitement? Et quelles sont les responsabilités précises des employeur·se·s?
Une nouvelle méthode permet de développer son plan personnel de rétablissement en santé mentale. Il est complété par un plan de gestion de crise. Assorti d’un manuel théorique, ce kit a été développé avec des pairs praticiens.
La question des violences sexuelles à l’adolescence occupe la scène sociale, judiciaire et clinique. Elle témoigne, du point de vue des victimes mais également des auteurs, de vécus de souffrance. Plaidoyer pour une démarche de soin précoce.
« A table ! » Cet appel est certes une invitation au partage, à la convivialité et au plaisir, mais l’acte social et symbolique de manger est aussi un marqueur d’inégalités sociales de santé et un enjeu majeur de santé publique.
Au lieu d’attendre que les patient·e·s demandent une prestation sociale, un centre de santé à Genève a pris le parti inverse. Les médecins prennent l’initiative et collaborent avec le service social pour assurer le suivi global.
Conquérir un « chez soi » peut s’avérer complexe après une hospitalisation en psychiatrie. Depuis 2016, une unité s’intéresse à cette problématique aux facettes multiples liées à la santé, au système de soins et aux dynamiques sociales et familiales.
En Suisse, une personne de plus de 65 ans sur deux a écrit des consignes pour sa fin de vie. La rédaction de directives anticipées s’avère libératrice, mais elle est aussi anxiogène. Dans cette démarche, un accompagnement social est précieux.