Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Les mesures appliquées pour prévenir certains risques sanitaires ne savent toujours pas tenir compte des inégalités sociales. De plus, elles stigmatisent des parties de la population. Avec le coronavirus, c’est le totem des âges. Réflexion à vif.
En théorie, les EMS sont des lieux de vie. Sauf que les résident·e·s se trouvent souvent dans un rôle d’objets d’attentions et de soins. Comment les considérer comme sujets ? A Genève, le groupe de parole est devenu un outil thérapeutique.
Les thérapies antirétrovirales permettent aux personnes vivant avec le VIH d’avoir une vie sexuelle et reproductive similaire à la population générale. Cependant, pour les femmes séropositives, des enjeux sociaux et sanitaires subsistent.
Face à un aliment sucré ou riche en graisse, les circuits de la récompense s’activent dans notre cerveau. Les études basées sur les imageries fonctionnelles montrent que les personnes obèses et non-obèses ne réagissent pas de la même façon.
Le partenariat de soins et services se développe. Au niveau clinique, il vise à co-construire un projet de soins avec chaque patient·e. L’idée existe désormais de le pratiquer aussi au niveau de l’organisation et de la gouvernance.
Dans les milieux de l’accompagnement et de la santé, la «présence» se décline en présence à soi, présence à l’autre, présence à ce qui nous entoure et présence à plus grand que nous. Comment définir, cerner et mettre en pratique cette posture?
Comment faire ses courses et cuisiner avec un déficit visuel? Comment oser se mettre à table avec des convives si on peine à manger proprement? L’ergothérapie identifie les obstacles et apprend à les contourner.
Voyage dans la tête et le corps d’une personne qui s’astreint à un jeûne. Pourquoi cette cure ? Perdre sa brioche ? Allez au bout de soi-même ? Retrouver sa fougue de jeune chamois ? Un peu de tout ça et plus encore. Témoignage.
La perte de poids d’une personne âgée doit alerter les proches et les soignant·e·s car elle peut être le signe d’une dénutrition. Cette pathologie répandue est sous-diagnostiquée et souvent repérée trop tard. Comment agir concrètement ?
«A table !» Quelle alléchante invitation ! Toutefois, pour de nombreuses personnes, passer à table ne rime plus avec plaisir, rencontre et saveurs, mais avec peurs et prise de tête. Plan d’action contre les troubles alimentaires atypiques.