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Elle est souvent mal évaluée et insuffisamment traitée. La douleur n’est pourtant pas une fatalité de l’âge ! Une évaluation globale et un plan de soins coordonnés par l’infirmière peut améliorer tant l’état de santé que l’autonomie de la personne.
Les discriminations dans la santé perdurent. Afin que les soignant·e·s pratiquent l’inclusion de chaque patient·e, il importe de renforcer leur formation professionnelle sur les questions de sexe, de genre et de sexualité.
Les nouveaux traitements contre le cancer coûtent régulièrement plus de 100'000 francs par année. Ce prix des traitements reflète-t-il leur valeur pour la société ? Dans un système de santé national, comment établir des coûts équitables ?
Après les traitements initiaux contre un cancer, la personne concernée et les proches s’adaptent peu à peu pour retrouver une certaine qualité de vie. Ces ajustements imposés sont souvent ardus et coûteux. Comment imaginer un meilleur soutien ?
Une enquête menée à Genève a analysé, pour la première fois, l’état de santé d’un collectif de personnes ne bénéficiant pas des aides sociales auxquelles elles auraient pu prétendre. Les constats sont sans appel.
Dans les systèmes de santé développés, entre 20 et 30% des actes médicaux seraient injustifiés. Un mouvement médical grandissant vise à combattre cette surconsommation de soins. En Suisse aussi! Cette révolution culturelle se fera avec les patients.
En Suisse, une femme sur dix est concernée par l’endométriose. Certains professionnels de la santé banalisent les douleurs et le diagnostic est retardé, avec de graves conséquences. Pistes pour améliorer la prise en charge des patientes.
Les tendances démographiques concernent aussi les personnes souffrant de handicap psychique. Comment évoluent les pratiques éducatives face aux bénéficiaires vieillissant·e·s ? Résultats d’une recherche menée en Valais.
Le Code pénal définit des mesures thérapeutiques pour des centaines de délinquants souffrant de troubles psychiques. Dans un cadre sans durée fixe, l’intervention sociale suit des objectifs par étapes pour faire «diversion» sur l’avenir.
Des entretiens et un sondage en ligne ont donné la parole aux proches aidant·e·s. Les tâches accomplies sont encore plus complexes que ce que l’on imagine. Surtout quand il faut remédier aux défaillances des systèmes sociaux et sanitaires.
Pour soutenir les personnes réfugiées dans leurs défis sociaux et psychiques, la Croix-Rouge suisse propose une application permettant de chatter avec un·e pair·e accompagnant·e spécialement formé·e.