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Ces dernières années, cantons et communes ont investi dans l’accueil extra-familial. Selon les régions, des efforts restent à faire pour que les petit·e·s aux besoins particuliers puissent intégrer une crèche.
L'art de la danse améliore la qualité de vie des patient·e·s touché·e·s par la maladie. La discipline favorise l'expression des émotions et ouvre des espaces de reconnexion à son corps, envers lequel la confiance peut être mise à mal.
En co-créant des projets culturels avec des publics souvent en marge, une association de médiation culturelle s’allie aux structures sociales afin d’encourager chacun·e à trouver sa part de citoyenneté dans un échange collectif.
Une nouvelle démarche en Suisse romande permet d’aborder les questions liées aux soins futurs avant que la santé des patient·e·s ne se dégrade. Les défis sont à la fois éthiques et conversationnels.
Dans le cadre de la Biennale des arts inclusifs de Genève, des personnes avec et sans handicap ont visité une installation artistique qui propose une immersion dans l’écoute sensible du vivant, au travers des cinq sens.
La situation carcérale des détenu·e·s LGBTQ+ varie fortement, notamment en fonction des lieux de détention, des professionnel·le·s et co-détenu·e·s auxquel·le·s ils et elles sont confronté·e·s. Une recherche dresse un état des lieux contrasté.
Mots compliqués, caractères trop petits : les personnes avec une déficience intellectuelle peinent à comprendre des articles de presse, non rédigés en langage facile à lire et à comprendre. Une démarche participative s’est saisie de cet outil.
Si les recherches collaboratives entre milieux académiques et terrain s’avèrent plus longues, leurs résultats gagnent en validité. Exemple avec Polyolf, un projet qui s’est intéressé à l’olfaction des jeunes avec un polyhandicap.
Se souvenir de l’objectif d’une activité lors de sa réalisation permet de l’achever avec succès, ce qui requiert certaines compétences cognitives. L’étudier fournit un éclairage précieux sur la cognition des plus jeunes.
La pandémie a contraint les maisons de quartier à fermer leurs portes. Malgré la mise en place d’outils numériques, les travailleur·euse·s sociaux ont peiné à maintenir des liens avec leur public. Récit d’une expérience berlinoise.