Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
Dans le contexte médical, les personnes migrantes ont en principe les mêmes droits que les Suisses. Dans la pratique, le droit et le consentement aux soins ainsi que le secret médical ne peuvent pas toujours être respectés.
Les prestations à destination de familles migrantes en situation de précarité après une naissance existent. Comment les réinventer en fonction des besoins réels? L’expérience d’un groupe destiné aux femmes et à leurs enfants à Genève.
Que se passe-t-il lors du décès d’un·e parent·e proche dans des couples d’endeuillé·e·s ? Quels vécus, quels comportements, quelles émotions, quels rôles, quels types de régulation sociale? Immersion au cœur de pratiques familiales.
Une recherche-action a suivi des professionnel·le·s accompagnant des personnes avec une déficience intellectuelle pour développer la communication. Un manuel à leur attention et à celle des parents a résulté de ce travail de terrain.
Les personnes migrantes peuvent-elles prendre le pouvoir sur leur propre parcours d’intégration sociale ? Depuis plus de vingt ans, un réseau interculturel d’échanges de savoirs à Genève le démontre. Participantes et formatrices témoignent.
Les politiques d’insertion favorisent la formation professionnelle pour les personnes concernées par le handicap, la précarité ou la migration. Un nouveau territoire de pratiques en résulte et pose la question de la formation des formateur·trice·s.
Les politiques publiques envers les étrangers en Suisse ne cessent de se transformer. Depuis 2014, les programmes d’intégration cantonaux fournissent un outil commun et utile aux acteurs. Avec un but en point de mire : la cohésion sociale.
Une recherche sur la santé sexuelle des personnes en situation de handicap a recensé les différents services de Suisse romande et du Tessin. Deux cents institutions, écoles spécialisées, ateliers et associations ont participé à l’enquête.
L’accès aux soins est garanti par la loi pour les sans-papiers et les requérants d’asile déboutés. En théorie tout va bien, mais des questions pratiques se posent, pas seulement pour les traitements «lourds».
Une vingtaine de jeunes âgés de 15 à 18 ans ont été interrogés afin de saisir comment le « trop boire » se construit dans leurs pratiques d’alcoolisations. Il apparaît que la prévention sur les seuls risques sanitaires semble rater ce public-cible.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)