Pour réunir les savoirs
et les expériences en Suisse romande
S'abonner à REISO
A intervalle régulier et dans les bureaux officiels, il fallait dévoiler ses difficultés et ses états d’âme à l’assitant·e social·e... Les consignes sanitaires ont chamboulé ses pratiques. Et si elles ouvraient des opportunités de repenser les relations personnelles et les perspectives sociales ?
Plus question de jeux, de repas collectifs, d’activités partagées pour les enfants et les familles. Le 17 mars, tout a basculé. Certaines personnes ont précipitamment quitté les lieux, d’autres se sont perdues dans des démarches administratives impossibles. Le vide institutionnel s’est révélé béant.
Durant la crise du Covid, des réseaux de solidarité improvisés ont surgi des failles du système social. Cet article se penche sur deux mobilisations déployées dans la commune de Renens. Ces actions pourraient s’envisager comme un laboratoire de nouvelles perspectives.
Le confinement a vu de nouveaux liens se tisser avec les réfugié·e·s. Des ordinateurs portables ont été prêtés. Les cours ont eu lieu à distance. La créativité et l’humour s’en sont mêlés. L’épreuve a été rude, mais elle a concerné tout le monde.
Dans le canton de Neuchâtel, une plateforme a facilité l’organisation du soutien aux aîné·e·s. Toutefois, des frais inattendus dans des budgets déjà serrés, l’isolement et le sentiment de stigmatisation ont marqué de nombreux seniors. Leur rôle est pourtant crucial pour toute la société.
Le Covid-19 a déclenché une vague de solidarité entre les générations ou les voisin·e·s. Mais cet élan a aussi ses limites. Une définition collective des intérêts communs serait nécessaire pour que l’aide de proximité se poursuive.
Dès qu’il s’agit de sexualité, des professionnel·le·s du domaine social et de la santé sont encore souvent embarrassé·e·s. Une enquête nationale montre les freins et les réticences à engager un dialogue holistique avec les jeunes sur ce sujet.
Les victimes du locked-in syndrome, ou syndrome d’enfermement, et leurs proches sont souvent confronté·e·s aux inhabiletés du personnel soignant et à des écueils administratifs. D’une expérience vécue à Fribourg est née une association de soutien.
Les aspects quantitatifs et les questions de rentabilité ont changé l’organisation du travail dans les institutions sociales. Quelles postures adoptent les travailleurs et les travailleuses ? Résultats d’une recherche menée à Lausanne.
Des repas intergénérationnels ont été organisés dans trois communes alpines valaisannes. L’animation socioculturelle de ces soupers collectifs a réservé des surprises gourmandes. Elle a aussi confirmé le traditionnel dévouement des femmes.
Pour soutenir les personnes réfugiées dans leurs défis sociaux et psychiques, la Croix-Rouge suisse propose une application permettant de chatter avec un·e pair·e accompagnant·e spécialement formé·e.