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Comment aborder la question de l’alcool dans un foyer pour adultes ? L’interdiction fonctionne mal car des résident·e·s sortent des murs pour «s’alcooliser». L’autorisation de boire à l’intérieur permettrait-elle un meilleur accompagnement ?
La «misère de position» a été définie en 1993. Cette notion converge avec les recherches actuelles d’épidémiologie sociale qui étudient les inégalités. Un dialogue interdisciplinaire en résultera-t-il ? Il pourrait s’avérer fécond.
Avant de passer «A table !», il est bon de s’assurer que le repas que nous voulons manger est bon, y compris pour notre santé. Depuis plus de vingt-cinq ans, « Fourchette verte » y veille. Histoire d’une aventure qui a démarré à Genève.
Les mesures appliquées pour prévenir certains risques sanitaires ne savent toujours pas tenir compte des inégalités sociales. De plus, elles stigmatisent des parties de la population. Avec le coronavirus, c’est le totem des âges. Réflexion à vif.
Au début du XXe siècle, le poète et pédagogue indien Tagore a fondé ses actions sur la quête de l’émerveillement. En pleine crise sanitaire, sa pensée est inspirante. Cet article rassemble quelques repères et impressions sur ses enseignements.
Dans le canton de Neuchâtel, une réforme de la prise en charge de l’enfance est en cours. Des professionnel·le·s ont créé un collectif et élaborent un projet participatif et citoyen. Comment s’articule cette mobilisation locale et singulière ?
L’ordonnance fédérale sur le COVID-19 n’a pas intégré les travailleuses enceintes parmi «les personnes vulnérables». Des arguments cliniques, juridiques et sociaux plaident pourtant pour que le principe de précaution leur soit appliqué.
En théorie, les EMS sont des lieux de vie. Sauf que les résident·e·s se trouvent souvent dans un rôle d’objets d’attentions et de soins. Comment les considérer comme sujets ? A Genève, le groupe de parole est devenu un outil thérapeutique.
Les autorités ont recommandé un confinement plus strict pour les personnes de 65 ans et plus. Celles-ci se retrouvent ainsi au centre de l’attention sanitaire. Elles ne sont pourtant pas consultées. Ni reconnues dans leurs rôles sociaux traditionnels.
Partout en Suisse, des permanences fournissent aux personnes en situation de précarité et aux sans-abris des repas et un lieu pour dormir. Reportages photos d’Eric Roset dans quatre lieux genevois.
Pour soutenir les personnes réfugiées dans leurs défis sociaux et psychiques, la Croix-Rouge suisse propose une application permettant de chatter avec un·e pair·e accompagnant·e spécialement formé·e.