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Le suivi individualisé est largement appliqué dans les démarches d’insertion socioprofessionnelle des jeunes adultes en difficulté. Au-delà des outils utilisés, sur quels dénominateurs communs les intervenant·e·s travaillent-ils ?
Comment font les modérateurs pour intervenir dans les bus de nuit ? Quel savoir-faire faut-il déployer pour prévenir les incivilités et les violences verbales ou physiques ? L’expérience genevoise Noctambus pose des balises.
Les violences à l’encontre des femmes dans les espaces publics suscitent des débats nourris. Désormais « légitime », cette question apparaît souvent en lien avec le thème des villes sûres, gentrifiées et blanches.
Le Parlement a débattu pendant plus de trente ans de la nature du viol conjugal. Il en a fallu des arguments pour que les élues réussissent à faire reconnaître sa nature criminelle et la nécessité de sa poursuite d’office.
Le viol et les contraintes sexuelles existent uniquement hors mariage et, quand c’est possible, l’agresseur épousera sa victime afin de laver l’honneur familial. Une règle datant du Moyen-Age ? Non, du Code pénal suisse de 1942.
Parler de « violence conjugale » ou de « violence domestique » n’est pas équivalent. Le premier adjectif vise entre autres les inégalités entre les sexes, l’autre cible en priorité la sphère privée. Analyse des débats genevois.
Les décisions de la Conférence des directrices et directeurs cantonaux des affaires sociales concernant la révision des normes d’aide sociale ont un goût amer. Les attaques de la droite ont largement porté leurs fruits.
En 1970 à Genève, la question des « femmes battues » est débattue dans les mouvements militants. Vingt ans plus tard, les politiques publiques se développent dans le canton de Vaud. Deux approches différentes et des résultats qui se rejoignent.
La catégorie « violences envers les femmes » s’est construite sur plusieurs décennies en Suisse. Des lois et des plans d’actions politiques montrent une conception mouvante de cette forme spécifique de violence.
A quel âge et comment faut-il informer les enfants ? Le jour du diagnostic ou par étapes ? Lors d’une enquête, des parents atteints du VIH ont décrit le contexte et les moyens utilisés pour annoncer leur infection.
Pour soutenir les personnes réfugiées dans leurs défis sociaux et psychiques, la Croix-Rouge suisse propose une application permettant de chatter avec un·e pair·e accompagnant·e spécialement formé·e.