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A Lausanne, deux étudiant·e·s en médiation culturelle ont proposé un projet axé sur la participation à la culture comme expérience de réappropriation démocratique. Une dizaine de femmes et une artiste y ont pris part.
L’entrepreneuriat social reste majoritairement enseigné, en Suisse romande, dans des cursus postgrades, lors de formations innovantes et concrètes. Cependant, des cursus de base, interdisciplinaires, se mettent peu à peu en place.
Pour qu’ici soit chez moi : la théorie de la régulation, particulièrement éprouvée durant le semi-confinement lié à la pandémie de coronavirus, contribue à expliquer le sentiment du chez soi en logement protégé.
Consulter un médecin lorsque l’on a un trouble du spectre de l’autisme cumule les sources de stress. Pourtant, en adaptant la communication et l’environnement, par exemple, l’accès aux soins de ces personnes se trouve favorisé.
Se former quand on assume seule la charge d’un ou plusieurs enfants et qu’on reçoit le revenu d’insertion représente un cumul de challenges. Certains programmes soutiennent ces femmes à la motivation décuplée par la vision d’un avenir meilleur.
Amener la créativité au chevet du patient adulte ouvre un espace-temps qui apaise et reconnecte corps et esprit. Il convie l’essence réparatrice, intime, d’une personne malade et contribue à prendre soin de son équilibre psychologique.
Chaque année, plus de 200 rendez-vous adaptés proposent aux personnes en situation de handicap un accès facilité à l’offre culturelle de la région genevoise. Encore faut-il que les intéressé·e·s sachent que les événements existent...
Si l’envie de retrouver le plus vite possible une vie professionnelle normale se révèle souvent très importante chez les patient·e·s ayant souffert d’un cancer, il s’avère primordial de ne pas brûler les étapes de cette phase majeure.
A Genève, l’art a fait son entrée dans un service universitaire d’addictologie il y a bientôt dix ans. Retour sur une expérience enrichissante et interrogatrice, tant du côté des soignant·e·s que des artistes.
Considérés comme des dealers, des migrants africains doivent rester invisibles pour échapper à la police. Quelle place la société leur offre-t-elle ? Peuvent-ils exister dans l’espace public ? Leur documentaire esquisse des réponses.