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À l’occasion des 30 ans de la LAVI, une étude exploratoire a été menée auprès de professionnel·les de terrain de Suisse latine pour documenter les accès et obstacles à la justice dont disposent les victimes d’infractions pénales.
Bien que la cuisine du quotidien semble être un acte anodin, elle permet de transmettre des liens familiaux, ainsi que d’apporter du soutien au-delà de son noyau familial, comme le montre une étude menée en Valais.
Lorsque des jeunes en situation de mal-être et leurs parents se trouvent perdu·e·s, que les professionnel·le·s semblent démuni·e·s pour trouver un accompagnement adéquat, le travail en réseau apparaît comme véritable outil ressource. Grand angle.
Afin d’ouvrir aux personnes vivant avec le VIH un espace d’écoute et de partage hors du domaine médical, un centre propose un mentorat par les pair·e·s, «Entr’aide+». Il vise notamment à soutenir l’individu après l’annonce du diagnostic.
Constituer une Bibliothèque Humaine permet de défier les stéréotypes dans l’éducation par la rencontre et les échanges. Elle offre également l’opportunité aux « Livres Humains » de relire leur parcours avec un autre regard.
Les personnes témoins de harcèlement dans l’espace public ayant elles-mêmes été victimes de telles agressions sont-elles plus enclines à s’impliquer lorsqu’elles assistent à une situation similaire ? Une étude menée à Fribourg éclaire ce pan du phénomène.
En Suisse, des améliorations pour garantir les droits des enfants dont un des parents est incarcéré sont nécessaires. Afin d’éclairer un pan méconnu découlant de la politique carcérale, une étude cible les lacunes en la matière.
Offrir aux parents soumis à des mesures contraintes vis-à-vis de leur enfant, et en manque de ressources, un espace pour traiter leur problématique personnelle comble, selon une association vaudoise, un manque dans le réseau social. Récit.
Une étude montre que les « vécus subjectifs de contact avec un·e défunt·e » (VSCD) ont un impact majoritairement très positif sur le processus de deuil.
Le potentiel d’une approche de la criminalité participative et axée sur les besoins est de plus en plus reconnu. En prison aussi. [1]