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Face à un aliment sucré ou riche en graisse, les circuits de la récompense s’activent dans notre cerveau. Les études basées sur les imageries fonctionnelles montrent que les personnes obèses et non-obèses ne réagissent pas de la même façon.
Le partenariat de soins et services se développe. Au niveau clinique, il vise à co-construire un projet de soins avec chaque patient·e. L’idée existe désormais de le pratiquer aussi au niveau de l’organisation et de la gouvernance.
Dans les milieux de l’accompagnement et de la santé, la «présence» se décline en présence à soi, présence à l’autre, présence à ce qui nous entoure et présence à plus grand que nous. Comment définir, cerner et mettre en pratique cette posture?
Comment faire ses courses et cuisiner avec un déficit visuel? Comment oser se mettre à table avec des convives si on peine à manger proprement? L’ergothérapie identifie les obstacles et apprend à les contourner.
Voyage dans la tête et le corps d’une personne qui s’astreint à un jeûne. Pourquoi cette cure ? Perdre sa brioche ? Allez au bout de soi-même ? Retrouver sa fougue de jeune chamois ? Un peu de tout ça et plus encore. Témoignage.
La perte de poids d’une personne âgée doit alerter les proches et les soignant·e·s car elle peut être le signe d’une dénutrition. Cette pathologie répandue est sous-diagnostiquée et souvent repérée trop tard. Comment agir concrètement ?
«A table !» Quelle alléchante invitation ! Toutefois, pour de nombreuses personnes, passer à table ne rime plus avec plaisir, rencontre et saveurs, mais avec peurs et prise de tête. Plan d’action contre les troubles alimentaires atypiques.
Un faux remède quand l’espoir de guérison est mince? Un bonbon rose? Le placebo a mauvaise réputation. Pourtant, ce phénomène est remarquable. Il illustre la capacité du vivant à s’adapter par avance, à faire le lien entre passé et futur.
Les maladies actuelles les plus fréquentes sont difficiles à prévenir. Bonne nouvelle : de puissants leviers d’actions existent et ont fait leur preuve. Encore faut-il que le système de santé publique change et les mette en place.
Elle est souvent mal évaluée et insuffisamment traitée. La douleur n’est pourtant pas une fatalité de l’âge ! Une évaluation globale et un plan de soins coordonnés par l’infirmière peut améliorer tant l’état de santé que l’autonomie de la personne.