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Pour les enfants et les jeunes, l’apprentissage de la gestion financière passe surtout par l’imitation des proches ou des pair·e·s. La mise en pratique peut aussi être abordée grâce à l’argent de poche ou à des applications éducatives.
Comment les pratiques professionnelles sont-elles impactées par une situation de pandémie ? Comment assurer l’insertion socioprofessionnelle des jeunes à travers un écran ? La formation des travailleur·se·s sociaux y est significative.
Une expérience atteste que les échecs représentent un outil efficient pour faire travailler la mémoire des personnes touchées par des pathologies neurologiques ou psychiatriques. Ils contribuent aussi à la réintégration dans la vie sociale.
La propension des jeunes à discriminer les seniors a augmenté avec le Covid-19. Une recherche montre notamment que l’utilisation fréquente de vocables négatifs pour qualifier ce public a engendré une augmentation des préjugés.
Une étude nationale est venue étoffer les connaissances de l’état de santé des bénéficiaires de l’aide sociale. Les troubles de santé rencontrés par ces personnes devraient en faire un groupe cible de mesures de politique de santé.
Une étude lausannoise s’est intéressée à la santé sexuelle des jeunes trans et non binaires en francophonie. Elle montre notamment qu’il s’agirait d’intégrer davantage les diversités de genre dans les cours d’éducation sexuelle.
A Genève, quatre maisons de quartiers sont passées sous la loupe de la Cour des comptes. Un exercice complexe, qui ouvre des pistes d’amélioration du fonctionnement de ces structures.
Durant la pandémie, une plateforme de soutien en ligne pour les personnes victimes de la violence de leur conjoint·e a été créée. Répondant à des besoins indépendants de la situation sanitaire, elle a été pérennisée.
Les personnes migrantes sans-papiers recourent souvent aux médias sociaux lorsqu’il s’agit de se documenter ou d’échanger au sujet de la santé. Du côté médical, l’investissement dans ces outils reste pourtant limité.
Dans certaines villes de Suisse romande, des correspondant·e·s de nuit arpentent les rues pour favoriser le mieux vivre ensemble. Selon la situation, ils et elles préfèrent rester en retrait.
Pour soutenir les personnes réfugiées dans leurs défis sociaux et psychiques, la Croix-Rouge suisse propose une application permettant de chatter avec un·e pair·e accompagnant·e spécialement formé·e.