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L’accès aux soins est garanti par la loi pour les sans-papiers et les requérants d’asile déboutés. En théorie tout va bien, mais des questions pratiques se posent, pas seulement pour les traitements «lourds».
Une vingtaine de jeunes âgés de 15 à 18 ans ont été interrogés afin de saisir comment le « trop boire » se construit dans leurs pratiques d’alcoolisations. Il apparaît que la prévention sur les seuls risques sanitaires semble rater ce public-cible.
Les sages-femmes et les maternités romandes travaillent en réseaux socio-sanitaires pour suivre les familles en situation de détresse sociale. Entre la théorie et la pratique, des décalages surgissent et il importe de les interroger.
Pour les professionnels de la santé, l’information des personnes migrantes se heurte à une série de difficultés. Une étude menée à Genève les identifie à trois niveaux : accès aux soins, transfert de compétences, contexte de vie des patients.
Les migrant·e·s représentent 41% de la population genevoise et appartiennent souvent aux populations les plus vulnérables. Une consultation de premier recours assure leur prise en soins. Avec quelle mission et quels objectifs de santé publique?
Il existe des lésions organiques sans douleur et des douleurs sans cause. Sensations, émotions, mémoire et environnement social interagissent sans discontinuer. Analyse des hypothèses actuelles pour cerner les ruses de la douleur.
Une personne sur six est concernée par des troubles psychiques. Pour prévenir et promouvoir la santé mentale auprès du grand public en Suisse romande, le site internet santépsy a été mis en ligne. Comment a-t-il été conçu ?
Des foyers de Neuchâtel, Jura et Berne accueillent des enfants de 6 à 16 ans hyperactifs sous médication. Quelles sont les stratégies utilisées par les éducateurs et éducatrices afin de répondre à leurs besoins ?
Pour les patients âgés de 18 à 65 ans, l’orientation en institution au sortir de l’hôpital psychiatrique a un impact émotionnel majeur. L’accompagnement de transition doit tenir compte des dimensions symboliques de l’habitat.
Les soins palliatifs mettent les malades et leurs proches au centre des prises de décisions thérapeutiques. Comment assurer des soins qui respectent leur volonté et leur définition personnelle de ce qu’est la « qualité de vie » ?