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L’étude mandatée par AvenirSocial sur le travail social en temps de pandémie aboutit à des conclusions préoccupantes. L’association professionnelle, alarmée, fait entendre ses revendications.
À Epalinges, une mesure originale favorise l’insertion sociale des personnes réfugiées grâce à un programme de formation basé sur la confection de jus de fruits. Ou comment transformer activités pratiques en un atout andragogique.
Et si les entreprises luttaient contre l’épuisement de leurs employé·e·s à l’aide de concerts ? Quels seraient les impacts de ces moments musicaux collectifs ? C’est ce qu’a exploré le projet musicdrops@work dans trois entreprises.
Solliciter des prestations sociales par courriel, sans devoir se déplacer à un guichet, représente une aubaine pour certain·e·s, mais contrecarre l’autodétermination des plus vulnérables. Une recherche menée à Genève le montre.
Les femmes avec déficience intellectuelle souffrent de multiples et constantes représentations négatives au sujet de leur intimité. Des évolutions sont essentielles pour que leur santé sexuelle cesse d’en pâtir.
Lorsque les possibilités de rembourser des découverts s’avèrent inexistantes ou presque, le suivi social doit maintenir le lien sans encombrer le système. Cette mission, parfois périlleuse, repose sur quatre piliers principaux.
A Lausanne, deux étudiant·e·s en médiation culturelle ont proposé un projet axé sur la participation à la culture comme expérience de réappropriation démocratique. Une dizaine de femmes et une artiste y ont pris part.
L’entrepreneuriat social reste majoritairement enseigné, en Suisse romande, dans des cursus postgrades, lors de formations innovantes et concrètes. Cependant, des cursus de base, interdisciplinaires, se mettent peu à peu en place.
Pour qu’ici soit chez moi : la théorie de la régulation, particulièrement éprouvée durant le semi-confinement lié à la pandémie de coronavirus, contribue à expliquer le sentiment du chez soi en logement protégé.
Consulter un médecin lorsque l’on a un trouble du spectre de l’autisme cumule les sources de stress. Pourtant, en adaptant la communication et l’environnement, par exemple, l’accès aux soins de ces personnes se trouve favorisé.