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Basé sur la prédiction par diagnostic, le nouveau modèle national de tarification est inapplicable à la santé mentale. Pour quelles raisons ? Et comment remodeler cet instrument pour l’adapter à la psychiatrie-psychothérapie ?
Entre ceux qui souhaitent une intervention de qualité et ceux qui revendiquent une approche strictement financière des régimes de protection sociale, les oppositions sont vives. Analyse des importants effets de ce schéma de pensée.
Lorsque nous imaginons un parcours de vie « normal », nous faisons appel à diverses représentations dont celles définies par les assurances sociales. Analyse avec l’exemple des normes androcentrées contenues dans l’AVS.
Afin de faire reconnaître certains troubles psycho-physiques, les assurés passent de procédures en recours, d’examens en réexamens. Avec son étude chiffrée, Cristina Ferreira met en exergue les dimensions sociales et politiques de cette juridicisation alarmante.
La publication en mai dernier du premier Rapport social statistique suisse 2011 [1] a constitué une innovation importante et bienvenue sur le plan fédéral. Un mois plus tôt, le Département vaudois de la santé et de l’action sociale (DSAS) a publié son Rapport social 2011.
Le canton de Berne vient d’adopter une loi qui introduit des bonus et des malus pour les services sociaux. Ueli Tecklenbourg décortique les non-dits de cette loi et montre les lacunes des calculs financiers sur lesquels le système est fondé.
Un revenu minimal d’existence ; sans lien avec le travail ; pour tout le monde. L’idée est si simple qu’elle secoue tous les schémas de pensée. REISO lance le débat en donnant la parole à BIEN Suisse qui défend ce principe. Il définit le revenu de base et répond aux critiques émises jusqu’ici.
Des milliers de sans emploi ont perdu leur droit aux indemnités de chômage ce mois d’avril 2011 en Suisse. De révision en révision, la Loi sur l’assurance chômage et insolvabilité ne dit pas toujours explicitement ce que veut le législateur.
La politique sociale actuelle gaspille des ressources potentielles en omettant de faire porter la charge de son action aux secteurs et acteurs responsables des problèmes qu’elle est appelée à traiter.
Les Premières Assises contre l’homophobie ont montré l’urgence d’une prévention dans les écoles. Depuis lors, quelles actions et interventions se sont-elles concrétisées ? Etat des lieux.
Bureaux partagés en sous-location à Lausanne-centre, dans un environnement propice aux échanges et aux synergies, notamment avec des associations axées sur la famille. (image : © Freepik)